La salopette Penthésilée blanche habille votre printemps et votre été. Ses 25 % de lin lui apportent sa légéreté tandis-que ses 75 % de lyocell (fibre de bois) lui prodiguent son aplomb. Elle est doublée en soie, avec un motif "pieuvre", qui vous accompagnera discrètement tout au long de vos jours.
L'allure de la salopette "Penthésilée"
Cette salopette est faite d'une taille haute, ceintrée sans être serrée, et de grandes et longues jambes, légèrements evasées pour une allure "couture". Elle est tout aussi confortable réhaussée sur talons hauts qu'avec une paire de baskets. Le dos est fendu, pour plus d'aisance, et laisser entrevoir la pieuvr dessinée sur la soie.
Les coutures intérieures sont finies par des biais de soie.
Les boutons sont gravés du symbole de Limoilove, le scarabée, qui transforme la matière en Beauté.
La confection de Penthésilée
Le tissu est fabriqué en Alsace. La salopette a été modélisée par la fondatrice de Limoilove, Eloïse, et finalisée par une entreprise modéliste qui travaille pour les plus grandes maisons de couture, labellisée » Entreprise du Patrimoine Vivant» (EPV), et l'une des rares à être certifiée ISO 14001. Elle est confectionnée à Paris. Les boutons sont fabriqués en France.
La taille de Penthésilée
La salopette Penthésilée blanche est taillée du 34 au 40.
Notre salopette taille volontairement assez grand. Prenez celle en-dessous de votre taille habituelle pour qu'elle tombe parfaitement.
L'esprit de notre combinaison-salopette Penthésilée
Nous l'avons conçue à la fois comme un cocon et une armure - elle accompagne et soutient le mouvement des femmes qui prennent leur pouvoir. Elle porte le nom et l'esprit de la Reine des Amazones, Penthésilée, mise en scène dans le merveilleux texte théâtral de Kleist traduit par Julien Gracq :
"A moi maintenant ! Toutes ! mes guerrières, mes victorieuses, mes filles de Mars, des cheveux aux talons toutes parées de la poussière des combats ! Mes glaneuses ensoleillées d'épis - mes vendangeuses gorgées par les champs de bataille - une à une, tendez-moi de vos mains rougies les grappes de la plus orgueilleuse vendange qui ait jamais enivré mon peuple ! Pliez les reins, mes cueilleuses odorantes, sous le poids des corbeilles de fleurs ! Et vous, toutes - vite - toutes - courez - pillez - saccagez les prairies ! - et les roses que le printemps me refuse, faites-les fleurir sous votre bouche."
Penthésilée, Heinrich von Kleist, 1808.
Traduction Julien Gracq 1954, éd. José Corti